Salut!
Le but de ce site est d’aider les bassistes à progresser dans la pratique de la basse et à devenir meilleur dans leur jeu.
Tout un programme 🙂
Travail du rythme, improvisation, lecture, solfège rythmique, harmonie, on aborde tout ce qui tourne autour de la basse.
Mais laisse moi deviner, tu es bassiste, tu veux progresser et tu en as marre de stagner.
Tu t’es mis à la basse récemment (ou pas). Mais tu tournes en rond dans ta pratique.
Tu joues toujours les mêmes plans, tu as du mal à lire trois notes sur une portée, tu rames pour jouer une formule rythmique écrite
avec deux croches et une noire…et tu ne veux pas entendre parler de solfège.
Et avec ça?
Tu n’es pas sûr de toi pour jouer en groupe, tu grooves comme une armoire et tu joues un peu bancale.
Mais tu continues à jouer parce que tu aimes ça.
C’est déjà bien.
Mais les covers et les tablatures que tu joues en boucle ne te permettent pas de progresser comme tu le voudrais
Du coup tu fais du surplace tu stagnes.
Pourtant tu tiens bon car la musique c’est ta passion et tu aimes jouer avec les potes.
Apprendre la basse et les fondamentaux de la musique ça ne marche pas comme ça.
Pas avec des covers et des tablatures.
Ça c’est bien au début quand tu commences.
Pourtant oui c’est faisable de passer au niveau supérieur.
La bonne nouvelle c’est que tout s’apprend et que toute sa vie on continue à progresser sur son instrument.
En utilisant les bonnes méthodes tu peux vraiment faire la différence et passer au niveau supérieur.
Comme j’aime le dire la musique tu en prends pour perpète.
Moi même je travaille mes instruments tous les jours.
J’ai crée ce site coursdebasse.com pour permettre aux bassistes de s’améliorer.
Qui suis je
D’origine martiniquaise par ma mère, entre le soleil et la plage j’ai toujours été attiré par le rythme.
Dès l’âge de 8 ans ma mère nous avait inscrit avec mon frère au conservatoire.
A l’époque c’était 2 ans de solfège avant de toucher un instrument.
Tu vois un peu le genre. C’était pas la joie.
J’allais au conservatoire après les cours sans me poser de questions.
C’était comme une mission.
Ensuite au collège en région parisienne c’était ma période Jazz fusion avec Uzeb, Weather Report, Jaco…
J’aimais tout ce qui était technique et un peu dur à jouer.
J’étais aussi et surtout fan de Level 42 avec Mark King. C’était mon idole.
J’avais tous les albums, (je les ai encore), je connaissais tous les morceaux, j’adorais le son de ce bassiste.
Et surtout je voulais la même basse que lui 😉
Je me demandais comment il faisait pour jouer et chanter comme ça en même temps.
Les années défilent et je continue mon petit bonhomme de chemin.
Je passe les cycles et les diplômes jusqu’au dernier niveau au conservatoire.
C’est lors d’un examen au conservatoire que je fais la connaissance de Fifi Chayeb qui fait parti du jury d’examen.
Fifi était déjà la référence des musiciens de studio de l’époque.
Il jouait avec tout le monde, tous les artistes.
Je rencontre ensuite Francis Darizcuren et je prends des cours chez lui pendant deux années.
Ce monsieur est un monument de la musique, une légende.
Il avait toujours des anecdotes incroyables.
Il connait tout, a joué avec tout le monde, connait toutes les anecdotes du monde de la musique.
Grace à Francis je rencontre ensuite Pascal Mulot et je découvre ces albums solo incroyables.
Sans doute le premier « bass hero » à ma connaissance.
Ses albums à l’époque sont révolutionnaires, on a jamais entendu des choses pareils à la basse.
Sons de baleines, de dauphins, de guitares saturées…le tout fait avec sa basse.
Incroyable.
En 1995 j’apprends que le Zawinul Syndicate de Joe Zawinul passe en concert pas loin de chez nous.
Je cours prendre des places. Je suis hyper excité.
C’est un peu le retour du Weather Report fondé dans les années 70 par Joe Zawinul.
Je prends une claque magistrale.
Richard Bona est à la basse et Paco Serry à la batterie.
Phénoménal!
C’est à ce concert que je rencontre pour la première fois Richard.
Je ne le lâcherai plus.
J’irais même à l’inauguration de son Club parisien le Nubia.
Parallèlement je m’inscris en musicologie à la Sorbonne et j’enseigne ensuite deux ans la musique en collège.
On dirait le sud…
La vie suivant son cours, une proposition d’orchestre dans le sud et le ras le bol de la vie parisienne font que du jour au lendemain,
je pars avec ma compagne enceinte jusqu’aux dents vivre dans le sud.
Nous faisons un aller retour en TGV, trouvons un appartement et repartons aussitôt nous installer.
Ma fille ainée naitra peu de temps après dans les Pyrénées.
Ensuite à nous les ballades dans les montagnes entre vaches et chevaux sauvages.
Sa petit soeur arrivera deux ans plus tard et naîtra aussi dans une petite ville des montagnes pyrénéennes 🙂
J’aimais bien cette vie loin de tout ce bordel parisien.
On était à côté de la mer et de la montagne, la belle vie.
C’est là bas que j’intègre l’École Nationale de Musique de Pau Pyrénées en classe de contrebasse.
J’ai alors la chance d’avoir pour professeur un des plus grands contrebassiste soliste et chef d’orchestre reconnu, Bernard Salles.
Une pointure!
Sûrement le meilleur enseignant en musique que j’ai connu.
Un homme incroyable, un pédagogue exceptionnel, un musicien hors pair.
Toujours le bon mot, toujours à nous encourager à continuer.
Une référence en contrebasse et surtout un ami de Stanley Clarke qu’il fait venir pour ses masterclass qu’il organise dans le sud ouest.
C’est grâce à lui que je développe mon jeu et mon goût pour la contrebasse.
Retour à Paris
Quelques années plus tard de nous revenons à Paris; j’intègre le CIM ou je peaufine la contrebasse jazz et la basse.
Je rencontre Hadrien Ferraud, Etienne Mbappé, Linley Marthe et autres fous furieux de la basse qui sont des références.
Avec les copains on a notre repère au Baiser Salé et au Sunset à Châtelet.
C’est là ou passent tous les bons musiciens.
En même temps je passe beaucoup de temps à tourner avec diverses formations pop rock ou jazz, et avec les musiciens avec qui je fais le CIM.
La contrebasse sur l’épaule, on écume tous les clubs et les café concert parisiens.
Imagine toi le métro parisien à 17h/18h avec la contrebasse!
Une vraie galère. Mais on aime ça alors on continue de tourner.
J’accepte ensuite une proposition pour enseigner en école de musique et je m’intéresse de plus en plus aux possibilités d’internet qui est en train d’exploser.
C’est le milieu des années 2000.
Je mets remets sérieusement ensuite au piano et j’apprends la guitare qui m’attire depuis longtemps.
Je monte ensuite le site coursdebasse.com quand j’ai le temps entre cours et séances d’enregistrements.
Je me dis ensuite pourquoi ne pas proposer des cours en lignes et donc nous y voilà 🙂
Je développe tout ça petit à petit pendant mon temps libre.
Voici ce qu’on peut faire ensemble
Oui tu peux progresser rapidement et devenir meilleur sur ton instrument.
Tout s’apprend en appliquant les bonnes méthodes.
Oui je ne vais pas te raconter d’histoire ça prend un peu de temps et du travail.
Mais ça en vaut vraiment la peine.
Ici sont passés des milliers d’élèves qui on réussi à transformer leur jeu.
Et surtout à se faire plaisir et à être fiers d’eux.
Certains qui avaient arrêtés pendant dix ans, vingt ans voire même trente ans s’y sont remis.
C’est vraiment super.
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